Bâtir une communauté
pour les parents et les doulas
Pourquoi il est important pour nous d’offrir des services ProBono?
Étant passionnés par notre travail, nous désirons partager cette passion avec toutes les types de familles et nous croyons que d’avoir accès au service d’une doula apporte beaucoup de douceur et de calme au(x) parent(s). La grossesse et l’accouchement sont des moments uniques, intimes et privilégiés.
Nous sommes témoins qu’une personne enceinte et vulnérable lors d’épisodes plus intenses se transforme en guerrière et dévoile ses super-pouvoirs à l’instant où cette nouvelle vie prend place. C’est un privilège pour la doula d’accompagner lors de ces instants de bonheur et de témoigner leur bienveillance.
Toute personne qui désire avoir une doula devrait se prévaloir de cette opportunité. C’est pourquoi, lors de chaque entente standard ou connexe, un montant est alloué pour les services pro bono. Les gens qui adhèrent à nos ententes de services s’inscrivent par défaut à ce don et peuvent sourire sachant qu’ils font la différence chez une personne enceinte vivant une situation financière précaire. Pour cette personne, c’est un cadeau sans prix.
Que signifie pro bono?
Pro bono, dont la traduction anglaise de l’expression latine bien connue est
« pour le bien public »,
fait référence à des services professionnels fournis gratuitement ou
à très bas prix.
Statistiques:
La plupart des salaires au Québec varient entre 41 500 $ et 55 500 $ par année. L’IRIS a calculé les revenus de subsistance pour trois types de ménages : une personne vivant seule, un couple avec un enfant vivant dans une garderie subventionnée par l’État (un CPE) et un couple avec deux enfants vivant dans un CPE. Pour Montréal : une personne vivant seule : 29 577 $; un couple, un enfant en garderie (CPE) : 41 692 $; un couple, deux enfants en garderie (CPE) : 65 033 $.
Environ quatre résidents de Montréal sur dix (43 %) éprouvaient un fort sentiment d’appartenance à leur communauté. La majorité (78 %) des résidents croyaient que le quartier dans lequel ils vivaient était un endroit où les voisins s’entraident généralement.
Environ la moitié des résidents disposaient d’un vaste réseau de soutien en cas d’urgence ou de catastrophe, avec plus de cinq personnes vers qui se tourner pour un soutien émotionnel (53 %) et en cas de blessure physique (48 %).
La prévalence des handicaps (qu’ils soient physiques, sensoriels, cognitifs ou liés à la santé mentale) parmi les Canadiens est plus fréquente qu’on ne le pense. En fait, des millions de Canadiens ont au moins un handicap. En 2017, un Canadien sur cinq (22 %) âgé de 15 ans et plus – soit environ 6,2 millions de personnes – souffrait d’un ou plusieurs handicaps. Les handicaps liés à la douleur, à la flexibilité, à la mobilité et à la santé mentale étaient les types de handicap les plus courants. Parmi les personnes âgées de 25 à 64 ans, les personnes handicapées étaient moins susceptibles d’avoir un emploi (59 %) que celles non handicapées (80 %).
Critères pour les services pro bono :
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Un revenu de travail familial brut, égal ou moins de 40 000$ (avec preuve de revenu – avis de cotisation des deux dernières années) ;
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Un revenu de travail monoparental brut, égal ou moins de 28 000$ (avec preuve de revenu – avis de cotisation des deux dernières années) ;
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Banque de pro bono disponible avec nos doulas (places limitées) ;
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Aucune assurance-collective ;
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Résider au Québec
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Avoir un suivi médical en cours par un médecin assigné à un centre hospitalier ou une sage femme en maison de naissance ;
Pour plus d’informations, écrivez-nous un courriel à info@doulaslove.ca